Le spectacle traditionnel des élèves tchèques du Lycée Carnot à Dijon
12.05.2017 / 20:59 | Aktualizováno: 19.03.2018 / 11:50
Le 11 mai 2017, le spectacle traditionnel des élèves tchèques du Lycée Carnot à Dijon a été organisé en présence des représentants du lycée, de nombreux amis de la République tchèque et du Vice-ministre de l’Education Monsieur Stanislav Štech, ancien étudiant de la section dans les années 1970.
Lors de sa visite de l’établissement. Le Vice-ministre a retrouvé dans les combles le graffiti qu’il avait lui-même gravé sur une poutre en 1973 « le dernier bachelier tchèque Stanislav salue ses compatriotes qui reviendront un jour ici ».
L’ouverture d’intégrer des élèves tchécoslovaques dans le système éducatif français remonte à la création de l’Etat tchécoslovaque. La section pour les garçons tchécoslovaques au lycée Carnot à Dijon a été ouverte en 1920 et pour les filles au Lycée Claude Debussy à Saint-Germain-En-Laye en 1923. La troisième section a été ouverte en 1924 à Nîmes (Lycée Alphonse Daudet).
L’activité des sections tchécoslovaques en France a été interrompue à plusieurs reprises (pendant la Seconde guerre mondiale, après 1948 et 1973). Au début des années 1990 les deux sections à Nîmes et Dijon out rouvertes.
Le spectacle traditionnel des élèves tchèques du Lycée Carnot à Dijon.
Le spectacle traditionnel des élèves tchèques du Lycée Carnot à Dijon.
Vice-ministre de l’Education Monsieur Stanislav Štech et le Proviseur du Lycée Carnot Monsieur Michel Gey.
Le spectacle traditionnel des élèves tchèques du Lycée Carnot à Dijon.
Le spectacle traditionnel des élèves tchèques du Lycée Carnot à Dijon.
Lors de sa visite de l’établissement. Le Vice-ministre a retrouvé dans les combles le graffiti qu’il avait lui-même gravé sur une poutre en 1973.
Lors de sa visite de l’établissement. Le Vice-ministre a retrouvé dans les combles le graffiti qu’il avait lui-même gravé sur une poutre en 1973.
Lors de sa visite de l’établissement. Le Vice-ministre a retrouvé dans les combles le graffiti qu’il avait lui-même gravé sur une poutre en 1973.